L’été est là… et les petits-enfants vont bientôt débouler au milieu du salon ! C’est le branle-bas de combat – et un peu l’affolement aussi : comment les occuper, quelles règles de vie adopter ?
Méli-mélo d’astuces pour un été familial et serein.

Au quotidien, des règles de vie nouvelles.

Changer de maison, c’est changer d’univers et c’est devoir se conformer à de nouvelles règles ! Contribuer aux tâches ménagères peut faire partie du programme et il suffit souvent de faire appel à leur empathie (« Tu sais, je n’ai plus 20 ans, je suis parfois fatigué(e) et je serais content(e) que tu m’aides ») pour les convaincre d’assumer leur part.

Si les petits-enfants ont tendance à profiter des vacances chez les grands-parents pour se faire chouchouter, il n’est pas question pour autant d’oublier les instructions données par les parents. Les grands-parents prendront soin de les respecter ! Mais s’autoriser à quelques libertés, c’est aussi une spécificité qui plaît aux petits-enfants...

Proposer des activités

Les petits-enfants apprécient les sorties, les découvertes mais il n’est pas nécessaire de composer un planning surchargé. Préparer le programme d’activités avec eux permet de s’organiser, de répondre à leurs envies mais aussi aux vôtres : piscine ou plage, animations, parc, zoo, mais aussi expositions ludiques,
librairie ou médiathèque !
Rester à la maison ne leur déplaît pas s’ils peuvent cuisiner, bricoler, dessiner, faire un jeu de société, lire une histoire, écouter un podcast… Partager des activités avec eux permet aussi de leur transmettre des savoirs et savoir-faire. Mais les idées loufoques plaisent aussi : pique-nique improvisé au milieu du salon, cabane sous une table… Des options valables en cas de pluie.

Tolérer les écrans… un peu !

Nul doute que les jeunes générations adorent rester scotchées aux écrans. Plutôt qu’une interdiction radicale qui risque fort d’engendrer frustration et rancœur (voire de leur ôter l’envie de revenir), il semble plus sage d’instaurer des règles claires : pas de téléphone à table, séance d’écran uniquement en fin de journée après être sorti… Les solutions intermédiaires sont nombreuses et permettent à chacun d’y trouver son compte.
 

Apaiser le chagrin du soir

Il est courant qu’un enfant réclame ses parents au moment du coucher. Pour l’apaiser, il peut être efficace de compter avec lui le nombre de dodos restant avant le retour de ses parents, raconter des anecdotes rigolotes mettant en scène ses parents lorsqu’ils étaient eux aussi enfants, ou encore sortir des livres ou des jouets qui leur ont appartenu...
 

Prendre le temps de récupérer

La présence des petits-enfants est souvent synonyme de fatigue tant ils brassent, réclament de l’attention et bouleversent le rythme habituel. Pour ne pas terminer les vacances sur les rotules, il est indispensable de se ménager des phases de récupération : profiter du moment où ils sont devant les écrans pour se reposer, les emmener au parc pour qu’ils trouvent des copains, faire la sieste en même temps qu’eux… et se coucher tôt le soir pour que les nuits soient réparatrices !

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« Mamie, on écoute un podcast ? »

Pour partager un moment tranquille avec les petits-enfants, le podcast est une excellente solution qui allie l’intérêt de l’enfant pour le numérique, l’apprentissage de l’attention et la dimension pédagogique des contenus.

Pour écouter des histoires :

• « Encore une histoire » propose des récits littéraires de 7 à 11 minutes, parfois en plusieurs épisodes.

• « Des histoires en musique » intègre de la musique classique aux contes les plus célèbres.

• « Les odyssées » racontent les grands personnages historiques.

• Enfin, « Salut l’info » décrypte l’actualité pour les 7-11 ans en 10 minutes.