La fin de vie, et si on en parlait ?
Depuis la loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie, a renforcé les droits existants et en a créé de nouveaux pour les personnes malades et les personnes en fin de vie, notamment l’opposabilité des directives anticipées et le droit à la sédation profonde et continue.
En matière de traitement, toute personne en fin de vie ou non est en droit d’exprimer sa volonté après avoir été informée des conséquences de ses choix par le médecin qui la soigne : accepter ou refuser un traitement (loi du 4 mars 2002 relative aux droits du malade et à la qualité du système de santé).
Concernant la fin de vie, ce droit est réaffirmé. Et parce qu’en fin de vie, la personne peut être inconsciente, le législateur a prévu deux dispositifs qui lui permettent d'exprimer sa volonté de manière anticipée et d’être représentée : des directives anticipées et une personne de confiance.
Parce que c'est un sujet difficile à aborder, le Ministère des affaires sociales et santé, le Centre nationale des soins palliatifs et de la fin de vie lancent une campagne "La Fin de vie et si on en parlait?"
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